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L'écriture porte des paradoxes : elle suscite mépris et négligence ou bien respect car objet d'art avec un aspect religieux.
L'écriture, ce n'est pas important mais IL FAUT bien écrire pour être compris. L'écriture porte l'absence de l'autre. Elle se trouve imbriquée dans une interface entre le langage et le corps. 
Les troubles de l'écriture sont très liés au profil psychologique. L'écriture est une image du scripteur et les jugements faits sur celle-ci le touchent. Il devient inquiet. Ma
posture de Gestalt praticienne prend en compte la personne dans toutes ses dimensions : physiques, affectives, intellectuelles, sociales, spirituelles et dans son environnement.  Mon patient est invité à prendre conscience de son vécu dans l'ici et maintenant de la séance. Je vais l'aider à mettre des mots sur son expérience, soutenir les ressentis, les accueillir ou aider à les faire émerger. La recherche en commun du sens vient à la place de l'interprétation.
Avec les enfants et les adolescents, l'accompagnement ne peut s'envisager sans l'
implication des responsables légaux dont ils dépendent. Leur implication me permet de mieux comprendre ce qui se passe pour eux. Elle leur permet d'investir le processus thérapeutique en sachant qu'ils y sont favorables et des rencontres inter-sessions sont possibles. Parfois une mobilisation corporelle peut être proposée. En associant corps et esprit, la Gestalt engage le patient autrement. Elle est susceptible de remettre en mouvement ce qui était figé et d'amener du nouveau dans le rapport à l'écriture.
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